Sommaire :
Bantha
Autre nom : Bantha Majorus
Classification : Mammifère
Origine : Inconnue
Localisations notables : Tatooine, Roon, Kashyyyk, beaucoup d’autres mondes
Milieu de vie : Désert
Taille : Entre 2 et 3 mètres de long
Poids : 4 tonnes
Description physique : Fourrure marron, tannée, noire, blanc cassé, yeux rouges
Espérance de vie moyenne : Entre 80 et 100 années standard
Alimentation : Herbivore
I – Anatomie et mode de vie :
Le bantha commun, ou bantha Majorus, fut en tout temps une créature fascinante pour nombre de chercheurs. Leur origine est toujours restée un mystère pour les zoologistes, car bien que présent sur Tatooine (dont les premières traces remontent à longtemps avant la naissance des premières civilisations de la planète), ils occupent encore aujourd’hui un nombre incroyable de mondes à travers la galaxie. L’hypothèse la plus probable reste que des colons les ont amenés sur ces mondes lors de leurs différentes migrations il y a de cela très longtemps. Les banthas furent de véritables survivants. Ils ont été capable de se développer sur différents climats, donnant lieu à nombre de sous-espèces, même s’il est admis que les grands espaces ouverts tels que les plaines restent leur milieu de vie favori. Ces mammifères quadrupèdes étaient très imposants : en effet, ils pouvaient peser jusqu’à quatre tonnes et mesurer entre deux et trois mètres de long. Bien loin des 50 kilos que pesaient les jeunes à leur naissance. Leur longue fourrure qui les recouvrait entièrement pouvait prendre des colorations diverses et variées selon leur milieu de vie, passant par différentes teintes de marron, mais aussi tannée, blanc cassé ou noir. Il semblerait que les mâles étaient plus gros que les femelles, bien que leur envergure ne soit pas la seule manière de les différencier à première vue : leurs cornes, disposées de chaque côté de leur crâne, étaient plus épaisses chez les mâles, et la forme en spirale était plus prononcée. Au cours de leur vie (dont l’espérance était comprise entre 80 et 100 années standard), les cornes des femelles pouvaient faire une spirale complète, tandis que celles des mâles pouvaient aller jusqu’à deux spirales avant leur mort. Ces cornes grandissaient lentement au cours de la vie des banthas, augmentant d’un “anneau” chaque année. Utilisant leurs solides cornes pour se battre, ils se livraient à des affrontements rituels sans merci, bien qu’ils ne soient jamais à mort. En revanche, il pouvait arriver que leurs cornes s’entremêlent, et il était alors très difficile pour eux de se séparer. Bien souvent, cela les conduisait à s’effondrer d’épuisement, puis à mourir de déshydratation. De plus, l’état et l’épaisseur de leurs cornes étaient souvent un indicateur important pour juger de leur état de santé : des anneaux épais et crénelés témoignaient d’une bonne condition de vie et d’une nourriture abondante, tandis que des anneaux fins, craquelés ou inachevés étaient signe de sécheresse ou de famine. Les banthas communs étaient capables de survivre pendant plusieurs semaines sans boire ni manger, en utilisant simplement leurs réserves de graisses.
Profil : Un bantha (image extraite de “Star Wars : Imperial Assault – Bantha Rider Villain Pack“).
Anatomie du crâne et de la langue d’un bantha.
(image extraite de “Star Wars – Le Bestiaire“)
Ils faisaient usage de leur langue, puissante et agile, afin d’accrocher et de déraciner l’herbe et les arbustes du sol. C’est sur leur langue qu’étaient situés des orifices respiratoires, leur permettant d’inhaler et d’expirer l’air alentour en supplément de leur naseau, mais aussi de détecter les odeurs et ainsi de savoir si ce qu’ils venaient d’attraper était comestible ou non. Ils pouvaient également s’en servir pour soulever, porter des objets et même boire. Les banthas atteignaient leur majorité sexuelle au cours de leur vingtième année. Là, ils pouvaient prétendre à se reproduire avec les femelles. C’est en partie grâce à leur langue, que les mâles disposaient d’une façon particulière, qu’ils pouvaient signaler aux femelles leur volonté de s’accoupler. Suite à l’accouplement (et si fécondation il y a), les chercheurs ont observé que la période de gestation était approximativement de 30 mois. Les nouveau-nés ne se nourrissaient que du lait bleu de leur mère jusqu’à ce qu’ils soient en âge de consommer de la nourriture nécessitant des dents. En ce qui concerne leur déplacement, les banthas voyageaient au sein de grands troupeaux, constitués au mieux de vingt-cinq individus, dirigés par la femelle la plus forte et la plus âgée, la matriarche. Lorsque cette dernière se sentait vieillissante, elle laissait la gestion du troupeau à la candidate la plus à même de prendre sa place. Si le groupe devenait trop important, alors la seconde femelle la plus âgée en prenait une partie et quittait le troupeau afin d’en former un autre. Les mâles solitaires servaient de sentinelle au groupe, afin de le défendre contre les prédateurs (en ce qui concerne Tatooine, les dragons Krayt et même les anoobas, qui chassaient les petits). Il est admis qu’en cas de danger, les banthas se défendaient en chargeant leurs agresseurs, en les percutant avec leurs solides défenses et en les piétinant. Les Skettos, de petits insectes volants, accompagnaient souvent les banthas durant leur migration, afin de récupérer la laine des banthas pour étoffer leurs nids. Il est admis qu’ils avaient une fascination certaine pour les os de leurs ancêtres. Ils les rassemblaient dans des zones spécifiques, des cimetières de banthas. Les femelles pouvaient parcourir de grandes distances pour y déposer leurs petits mort-nés. Il était très malvenu de pénétrer en ces lieux, car cela portait malheur selon certains.
De plus, l’état et l’épaisseur de leurs cornes étaient souvent un indicateur important pour juger de leur état de santé : des anneaux épais et crénelés témoignaient d’une bonne condition de vie et d’une nourriture abondante, tandis que des anneaux fins, craquelés ou inachevés étaient signe de sécheresse ou de famine. Les banthas communs étaient capables de survivre pendant plusieurs semaines sans boire ni manger, en utilisant simplement leurs réserves de graisses. Ils faisaient usage de leur langue, puissante et agile, afin d’accrocher et de déraciner l’herbe et les arbustes du sol. C’est sur leur langue qu’étaient situés des orifices respiratoires, leur permettant d’inhaler et d’expirer l’air alentour en supplément de leur naseau, mais aussi de détecter les odeurs et ainsi de savoir si ce qu’ils venaient d’attraper était comestible ou non. Ils pouvaient également s’en servir pour soulever, porter des objets et même boire. Les banthas atteignaient leur majorité sexuelle au cours de leur vingtième année. Là, ils pouvaient prétendre à se reproduire avec les femelles. C’est en partie grâce à leur langue, que les mâles disposaient d’une façon particulière, qu’ils pouvaient signaler aux femelles leur volonté de s’accoupler. Suite à l’accouplement (et si fécondation il y a), les chercheurs ont observé que la période de gestation était approximativement de 30 mois. Les nouveau-nés ne se nourrissaient que du lait bleu de leur mère jusqu’à ce qu’ils soient en âge de consommer de la nourriture nécessitant des dents. En ce qui concerne leur déplacement, les banthas voyageaient au sein de grands troupeaux, constitués au mieux de vingt-cinq individus, dirigés par la femelle la plus forte et la plus âgée, la matriarche. Lorsque cette dernière se sentait vieillissante, elle laissait la gestion du troupeau à la candidate la plus à même de prendre sa place. Si le groupe devenait trop important, alors la seconde femelle la plus âgée en prenait une partie et quittait le troupeau afin d’en former un autre. Les mâles solitaires servaient de sentinelle au groupe, afin de le défendre contre les prédateurs (en ce qui concerne Tatooine, les dragons Krayt et même les Anoobas, qui chassaient les petits). Il est admis qu’en cas de danger, les banthas se défendaient en chargeant leurs agresseurs, en les percutant avec leurs solides défenses et en les piétinant. Les Skettos, de petits insectes volants, accompagnaient souvent les banthas durant leur migration, afin de récupérer la laine des banthas pour étoffer leurs nids. Il est admis qu’ils avaient une fascination certaine pour les os de leurs ancêtres. Ils les rassemblaient dans des zones spécifiques, des cimetières de banthas. Les femelles pouvaient parcourir de grandes distances pour y déposer leurs petits mort-nés. Il était très malvenu de pénétrer en ces lieux, car cela portait malheur selon certains.
Un bantha commun.
(image extraite de “The New Essential Guide to Alien Species“)
II – Dans la société galactique :
Les banthas étaient parmi les animaux les plus connus de la galaxie. En effet, ils furent utilisés en tout temps par nombre de populations, et ce pour beaucoup de raisons. Tout d’abord, il est parfaitement admis que les banthas sont très calmes et paisibles, n’ayant aucun mal à se laisser approcher et domestiquer, du moins en ce qui concerne la plupart des races. Pour en revenir à leur fourrure, il est à noter qu’elle pouvait être assez populaire et était donc vendue sur les marchés galactiques. Sur les mondes peu développés, la douce fourrure servait à confectionner des vêtements et des chaussures en tout genre. L’énorme masse des banthas signifiait beaucoup de marchandise, et cela couplé au fait que les banthas étaient des animaux domestiques communs garantissait des prix peu élevés sur les marchés. Là, les banthas étaient aussi utilisés comme montures (pour les civils comme les militaires), lorsque le terrain gênait l’emploi de véhicules. En revanche, sur les planètes plus riches, où les banthas se faisaient plus rares, les prix flambaient bien vite. Là, les habits confectionnés à partir de leur fourrure plaisaient beaucoup et une mode un peu fantaisiste se développa bien vite autour de cette dernière. La peau des banthas servait également à fabriquer des vêtements en cuir, généralement pour des climats plus tempérés, là où la fourrure était nécessaire dans des milieux plus froids. Leur viande était beaucoup consommée, mais les banthas étaient rarement chassés : les populations préféraient les élever dans des réserves ou des pépinières afin d’assurer une production plus fructueuse sur le long terme. Le lait bleu, récolté à partir des glandes mammaires des femelles, était une boisson très commune sur de nombreux mondes, mais servait aussi à la confection de beurre. Cependant, les banthas n’étaient pas utilisés uniquement pour leurs ressources alimentaires. Ils servaient également de bêtes de somme, leur grande musculature étant très pratique pour transporter de lourdes charges ou travailler dans les cultures, leurs propriétaires les munissaient alors de sabots à trois clous. Le Phrenbi, un sport corellien très populaire décliné en de nombreuses versions, utilisait parfois les banthas. Ils étaient tellement ancrés dans le folklore galactique que des sectes leur vouant un culte se formèrent au fil des âges. C’est le cas du Dim-U, un ordre religieux basé à Mos Eisley sur Tatooine, intimement convaincu que ces créatures étaient des êtres supérieurs, et qui parvint à répandre sa croyance sur des centaines de mondes. Néanmoins, aucun peuple ne fut aussi proche des banthas que les Tusken. Dès l’âge de 7 ans, au cours d’une cérémonie très importante, les Tusken recevaient chacun un bantha du même âge et du même sexe. Le but était que les jeunes Tusken apprennent à s’occuper de leur animal de compagnie et d’apprendre à les responsabiliser en leur inculquant les valeurs de la vie. Lorsque le bantha atteignait l’âge adulte, et suite à une autre cérémonie, le Tusken était en droit de l’utiliser comme monture. Au cours de leur vie, lorsque deux Tusken étaient amenés à se marier, on unissait également les banthas de leurs propriétaires, afin que les enfants du couple Tusken puissent s’unir avec les jeunes bantha issus de l’accouplement.
Fait encore inexpliqué de nos jours, les Tusken et leurs banthas étaient très fusionnels, bien au-delà de toute relation normale. On raconte qu’un Tusken dont le bantha mourrait ne pouvait être consolé. Après le rituel visant à enterrer l’animal dans un grand cimetière de banthas, il était alors exilé dans le désert, loin de sa tribu, à la recherche d’une apparition de son bantha décédé. L’esprit lui montrait alors soit le chemin vers l’au-delà, soit le menait à un bantha isolé dont le cavalier Tusken était mort. Il pouvait alors espérer nouer un lien avec ce nouveau bantha, et éventuellement retrouver son honneur au sein de sa tribu. Fait étrange, ce sentiment semblait partagé par les banthas. Parfois, à la mort de leur maître, certains étaient tellement tristes et désespérés qu’ils allaient jusqu’au suicide. Par ailleurs, et chose tout à fait anecdotique, les Tusken parvinrent même à trouver une utilité à la bouse de bantha, dont ils se servaient comme combustible de cuisson. Les Tusken utilisaient souvent les os des banthas morts qu’ils trouvaient dans le désert (uniquement ceux n’ayant pas été liés par un Tusken), qu’ils utilisaient comme structures pour les tentes. La jeune Tahiri Veila, qui avait été recueillie par un Tusken du nom de Sliven après la mort de ses parents, possédait son propre bantha. Bien que les Tusken ne donnaient pas de nom à leurs banthas, Tahiri choisit d’appeler le sien Bangor. En 22 ABY, alors que Tahiri et son compagnon Anakin Solo étaient menacés de mourir de faim et de soif dans le désert, ils appelèrent Bangor à travers la Force. Le bantha ayant développé un lien exceptionnellement fort avec Tahiri, il sentit leur appel à l’aide, les retrouva dans le désert et les ramena cinq heures plus tard à la tribu de Tahiri. Sur Roon, les banthas en fin de vie se réunissaient dans un cimetière gigantesque jonché d’ossements de banthas, se couchant près des restes de leurs ancêtres pour mourir. Malheureusement, cet endroit était aussi un véritable nid de charognards, s’attaquant aux vieux banthas venus mourir, mais aussi aux voyageurs imprudents venus observer le cimetière. Nombre de carcasses de vaisseaux s’y trouvaient aussi. Selon les scientifiques, quelque chose dans le ciel de la planète interférait avec les systèmes de navigations des appareils et les faisait se cracher. Au cours de la Guerre Civile Galactique, pour cette raison mais aussi pour ne pas perturber les banthas, le cimetière de Roon fut déclaré comme zone d’exclusion aérienne. Leur comportement sur Roon, couplé à la relation ultra-fusionnelle qui unissait les banthas aux Tusken, ont amené les zoologistes à penser que ces créatures étaient bien plus intelligentes qu’il n’y paraîtrait.
Les banthas, très présents dans la culture populaire, ont fini par devenir un élément commun dans la galaxie :
– De nombreux dictons et insultes comprenant le mot “bantha” étaient utilisés de manière courante : “graisser tout le bantha” signifiait sur Agamar qu’une personne devait s’engager totalement dans quelque chose. En revanche, le terme “chair à bantha” (ou “bantha poodoo” en langage Hutt), était connu comme étant une des pires insultes de la galaxie.
– Les bantha étaient très aimés par les enfants de tout horizon : en effet, le conte intitulé “Le Petit bantha perdu” était le livre préféré des jumeaux Jacen et Jaina Solo. Par ailleurs, les peluches bantha étaient très populaires. Le Wookie Lumpawaroo en possédait lorsqu’il était petit.
– Pour finir, plusieurs personnalités connues se feront surnommé “bantha”. Tel fut le cas du célèbre maître Jedi Nat Skywalker, oncle de Cade Skywalker, et du videur Chagrien Burloo.
Liste des sous-espèces de bantha :
Sous-espèce | Monde habité | Milieu de vie |
Bantha bleu | Entooine | Régions Polaires |
Bantha de jungle | Ord Vaxal | Plaines |
Bantha des dunes | Tatooine | Régions équatoriales |
Bantha des marais | Ohma-D’un | Marais |
Bantha de Kashyyyk | Kashyyyk | Jungles et plaines |
Bantha kilian | Kilia IV | Montagnes |
Bantha nain | Tatooine | Canyons et falaises |
Bantha sauvage | Talasea | Forêts |
Whorrwaarr | Kashyyyk | Forêts et jungles |
Des Tusken parcourant les étendues hostiles de Tatooine, chevauchant leurs banthas.
(image extraite de “Star Wars : The Card Game – Edge of Darkness“)
Liste des œuvres :
– “L’Attaque des Clones”
– “Un Nouvel Espoir”
– “Le Retour du Jedi”
Romans :
– “Star Wars Episode I adventures 6”
– “Star Wars Episode I adventures 8”
– “L’Attaque des Clones”
– “Boba Fett 4 : Hunted”
– “La Trilogie Yan Solo 1 : Le Coup du Paradis”
– “Un Nouvel Espoir”
– Le roman “Les Ombres de l’Empire”
– “Le Sabre Noir”
– “Junior Jedi Knights 5 : Promises”
– “Les Jeunes Chevaliers Jedi 3 : Le Chevalier de la Nuit”
– “Le Nouvel Ordre Jedi – les agents du chaos 2 : L’Eclipse des Jedi”
– “L’Héritage de la Force 7 : Fureur” (jouet)
– “Le Destin des Jedi 2 : Présage”
BD/Comics :
– “L’Ordre Jedi #3 : Outlander”
– “Côté Obscur #6 : Mara Jade” (en tant que viande)
Jeux Vidéos :
– “Knights of the Old Republic”
– “The Old Republic” et ses DLC :
“Rise of the Hutt Cartel”
“Galactic Strongholds”
“Knights of the Fallen Empire”
“Knights of the Eternal Thrones”
– “Galactic Battleground” et son DLC “Clone Campaigns”
– “Star Wars Battlefront”
Aventures pour JDR :
– “Chasse à l’homme sur Tatooine”
– “Commando : Shantipole”
– “Riders of the maelstrom”
– “Black Ice”
Nouvelles :
– “When the Desert Wind Turns: The Stormtrooper’s Tale”
– “Payback : The Tale of Dengar”
– “The Last One Standing”
Guides et encyclopédies utilisés en supplément :
– Alien Anthology
– Alliance Intelligence Reports
– Allies and Adversaries
– Cracken’s Rebel Field Guide
– Cracken’s Rebel Operatives
– Creatures of the Galaxy
– Dark Empire Sourcebook
– Galaxy Guide 1 : A New Hope
– Galaxy Guide 1 : A New Hope, Second Edition
– Galaxy Guide 2 : Yavin and Bespin
– Galaxy Guide 2 : Yavin and Bespin, Second Edition
– Galaxy Guide 4 : Alien Races
– Galaxy Guide 4 : Alien Races, Second Edition
– Galaxy Guide 5 : Return of the Jedi
– Galaxy Guide 5 : Return of the Jedi, Second Edition
– Galaxy Guide 7 : Mos Eisley
– Galaxy Guide 9 : Fragments from the Rim
– Galaxy Guide 12 : Aliens – Enemies and Allies
– Goroth: Slave of the Empire
– Han Solo and the Corporate Sector Sourcebook
– Heir to the Empire Sourcebook
– Heroes & Rogues
– Le Bestiaire
– Planets of the Galaxy, Volume Two
– Planets of the Galaxy, Volume Three
– Platt’s Starport Guide
– Power of the Jedi
– Secrets of Tatooine
– Shadows of the Empire Sourcebook
– Star Wars Encyclopedia
– Star Wars Gamemaster Handbook
– Star Wars Sourcebook, Second Edition
– Star Wars Technical Journal
– Star Wars Technical Journal of the Planet Tatooine
– Star Wars – The Roleplaying Game
– Star Wars – The Roleplaying Game, Second Edition
– The Complete Star Wars Encyclopedia
– The Essential Guide to Alien Species
– The Essential Guide to Planets and Moons
– The Illustrated Star Wars Universe
– The Jedi Academy Sourcebook
– The Last Command Sourcebook
– The Movie Trilogy Sourcebook
– The New Essential Guide to Alien Species
– The Old Republic Encyclopedia
– The Old Republic Explorer’s Guide
– The Rebel Alliance Sourcebook
– The Rebel Alliance Sourcebook, Second Edition
– The Star Wars Planets Collection
– The Star Wars Rules Companion
– The Star Wars Sourcebook
– The Thrawn Trilogy Sourcebook
– The Unknown Regions
– Ultimate Adversaries
– X-Wing : The Official Strategy Guide
Auteur : Ismir de Rómenna
Date de mise en ligne : 12/01/2020