Twi’lek

Twi’lek

Classification : Mammifère
Races distinctives connues : Lethan (peau rouge), Rutian (peau bleue)

Monde natal : Ryloth
Autres localisations : Tython, Kal’Shebbol, Corjain, Naos III
Langages : Ryl / Twileki – Galactic Basic Standard, langage des lekku

Taille moyenne : 1,7 mètre
Espérance de vie : 80 années standards
Description physique : Peau et yeux de couleur variées, tâches ou rayures possibles sur les lekku
Alimentation : Omnivore (rycrits, moules, champignons)

I – Particularités :

Les Twi’leks, originaires de Ryloth, sont un peuple fascinant, autant grâce à leur histoire que leur diversité : Leur peau pouvait en effet prendre de multiples teintes et nuances, passant par le vert, le jaune, le mauve, le rose, et bien d’autres. Les couleurs bleues et rouges, l’une très rependue et l’autre très rare, étaient appelées respectivement “Rutian” et “Lethan”. La couleur rouge était issue d’une modification génétique, et n’était pour cela pas très bien vue au sein de la communauté Twi’lek. Il est à noter que les oreilles, toujours humanoïdes pour les mâles, ne l’étaient pas toujours pour les femelles, puisque certaines en possédaient de forme conique. Autre différence physique, les mâles avaient les dents pointues, ce qui n’était pas non plus le cas des femelles, qui avaient obligation de les limer. En ce qui concerne les deux tentacules des Twi’leks, appelées “lekku”, elles trouvent leur source étymologique à partir du nom de leur propre espèce : “Twi’lek” signifierait “Twin” (jumeaux) – “lekku”. Un autre terme est également utilisé, celui de “Tchun-Tchin”. Le “Tchun” désignerait le lekku gauche et le “Tchin” le lekku droit. Ces lekku grandissaient en même temps que le reste de leur corps, et avaient plusieurs fonctionnalités. Non seulement ces appendices contenaient une partie de leur cerveau, mais ils pouvaient également stocker de la graisse et servir de zone érogène. De grands lekku, bien proportionnés et correctement entretenus étaient un symbole de haut statut social, ou un signe de bonne santé. Encore plus utile, ces appendices servaient au Twi’leks de moyen de communication : En effet, même s’ils possédaient des cordes vocales semblables à celle des humains – leur permettant d’apprendre de nombreuses langues – leur langage maternel, le Twi’leki (ou Ryl), ne se parlait qu’avec peu de mots et au moyen d’habiles et subtiles mouvements des lekku. Ces mouvements étaient parfaitement perceptibles lorsqu’un Twi’lek ressentait des émotions fortes (surprise, contrariété, excitation), qui se caractérisaient par de subtiles tremblements. Certains individus étaient capables de communiquer discrètement simplement avec leurs lekku… En revanche, si ces organes leur étaient extrêmement précieuses, elles n’en étaient pas moins fragiles. Le simple fait de tirer dessus ou de les compresser pouvait faire ressentir aux Twi’leks une vive douleur, allant jusqu’à les paralyser quelques instants. Si jamais les lekku devaient subir d’importants dégâts, cela pouvait engendrer de graves problèmes pour le cerveau du Twi’lek concerné. Plusieurs Twi’leks célèbres perdirent un lekku lors d’un malheureux incident, comme la Jedi Noire Alema Rar ou la criminelle Nolaa Tarkona, cette dernière remplaçant le bout de son second lekku par un capteur. Les Twi’leks n’avaient que deux lekkus, à l’exception du sénateur Orn Free Taa, qui en avait trois. Ces mêmes lekkus pouvaient servir à attraper et à utiliser des objets. A cause de leurs lekku, les Twi’leks étaient parfois surnommés “tête d’asticots”. Les Twi’leks étaient allergiques aux algues douces, qui agissait comme un poison sur leur organisme.

Profil : Une Twi’lek Lethan (image extraite de “The Unknow Regions“).

Une guérisseuse Jedi en action (à gauche) et une Twi’lek obscurcissant l’esprit d’un humain (à droite).
(images extraites de SWG Trading Card Game, “The Shadow Syndicate” à gauche et “Champions of the Force” à droite)

Âge des Twi’leks en années :

ÂgeAnnées
Enfant1 à 12 ans
Adolescent13 à 15 ans
Adulte16 à 44 ans
Aîné45 à 59 ans
Vieux60 à 79 ans
Vénérable80 ans et +

II – Histoire :

Les Twi’leks possédaient une température interne beaucoup plus élevée que les autres espèces humanoïdes. Les Twi’leks avaient également tendance à montrer des températures corporelles encore plus élevées lorsqu’ils ont particulièrement peur. La première mention des Twi’leks remonte à l’Ère Pré-Républicaine, aux alentours de 36.453 BBY. Un immense vaisseau d’origine inconnue, appelé Tho Yor, se présenta aux Twi’leks sur Ryloth et emmena une partie de la population sur Tython dans le Noyau Profond. Le clan Ryo, présent dans le système Tython, comptait une Je’daii, Tasha Ryo parmi ses membres. Selon les propos d’Ashaa, “la Mère des Machines”, les Twi’leks étaient une espèce que ses maîtres Rakatas l’avaient forcé à créer sur Belsavis, suite à de sombres expériences pour comprendre en partie leur perte progressive de la Force. Ces expériences se seraient déroulées aux alentours de 25.200 BBY, ce qui remet fortement en doute leur véracité : en effet, l’existence des Twi’leks était déjà prouvée depuis 10.000 ans, ces derniers ayant déjà reçus la visite des Tho Yor sur leur monde avant même que les Rakatas ne deviennent une menace galactique… Les explorateurs républicains découvrirent Ryloth aux alentours de 10 000 BBY, ouvrant ainsi les Twi’leks à la galaxie entière (bien que de rares spécimens soient sûrement déjà présents au sein de l’Ordre Jedi à cette époque, de part leur voyage sur Tython des millénaires auparavant). C’est sur Tython que se forma une communauté Twi’lek durant la Guerre Froide (3.653 – 3.642 BBY) entre la République et le Second Empire Sith, peu après que la planète ne soit redécouverte et réinvestie par l’Ordre Jedi. Le village Kalikori, situé dans un environnement hostile, était devenu plus que jamais invivable lorsque des hordes de déchiqueteurs Rakatas commencèrent à ravager la région sur ordre d’un Jedi Noir du nom de Rajivari. La village Twi’lek dut son salut à la venue du futur troisième Barsen’thor, qui infligea de lourdes pertes aux déchiqueteurs avant de vaincre Rajivari. L’espèce Twi’lek devint commune à la galaxie, il n’était donc pas rare d’en croiser à n’importe quel endroit. Pour les Sith en revanche, cette espèce n’était rien d’autre qu’une vermine exotique à l’image des Nautolans ou des Togrutas, en somme de bons esclaves. Il existait cependant des cas particuliers, comme celui d’Eleena Daru, qui devint la compagne de Darth Malgus, Darth Atroxa, qui parvint à se hisser au rang de Seigneur Sith, Darth Talon, qui devint une Sith au service de Darth Krayt, ou Alora, qui fut l’apprentie Jedi Noir de Tavion Axmis. A une date inconnue, certains Twi’leks subirent des mutations provoquées par des alchimistes Sith en pleine expérimentations. On retrouva aussi des Mon Calamari, des Gamorréens et des Wookiees dans le même cas… Lorsque les marchés galactiques commencèrent à s’intéresser aux ressources de Ryloth, en particulier le ryll (une épice utilisée comme produit médicinal), les Twi’leks augmentèrent massivement leur production et tentèrent de l’exporter. Malheureusement, les Hutt ne tardèrent pas à s’emparer de la production et à réduire en esclavage les Twi’leks afin de les vendre ou de les forcer à récolter le ryll dans leurs propres mines.

Un clan Twi'lek en pleine migration dans les étendues rocheuses et suffocantes de Ryloth

Un clan Twi’lek en pleine migration dans les étendues rocheuses et suffocantes de Ryloth.
(image extraite de “Geonosis and the Outer Rim Worlds“)

Environ 400 ans avant la naissance de la Nouvelle République, une communauté Twi’lek se forma sur Kal’Shebbol, une planète du secteur Kathol. Le choix de ce monde fut pour le moins intéressant, puisqu’il était situé le long d’une route commerciale, mais était assez isolé pour que les villages Twi’leks implantés puissent espérer vivre en paix. Bien qu’ils aient trouvé les immenses plaines et le climat humide particulièrement désagréable (car très différent des cavernes sèches de Ryloth), les Twi’leks parvinrent à s’adapter rapidement et développèrent des fermes ainsi que des élevages de chollas. Au fil du temps, la planète reçu la visite de nombreux groupes en migration, certains Twi’leks, d’autres non, mais les clans Twi’leks gardèrent une influence totale : en effet, tout groupe désireux de s’installer sur Kal’Shebbol devait être accepté par un des clans Twi’leks. Cependant, cette influence s’estompa lors de la prise de contrôle du secteur de Kathol par l’Empire Galactique, sous la gouvernance du Moff Kentor Sarne. Egalement située dans le secteur de Kathol, la planète Corjain comptait de nombreuses communautés Twi’leks qui vivaient en harmonie avec plusieurs clans de Jarells et de Svivrenis. En 31 BBY, les Jedi Aayla Secura et Quinlan Vos se retrouvèrent sur Ryloth pour enquêter sur un trafic illégal de ryll. Tout deux se retrouvèrent drogués et perdirent la mémoire. Lorsque Quinlan Vos revint sur Ryloth récupérer son apprentie, une altercation causa accidentellement la mort de Pol Secura, chef du clan Secura et oncle d’Aayla. Au début de la Guerre des Clones, en 22 BBY, Kh’aris Fenn tenta de prendre le pouvoir sur Ryloth en enlevant le fils héritier du clan Secura. Le coup d’état pu être éviter grâce à l’intervention du clan Secura ainsi que des Jedi Quinlan Vos, Aayla Secura et Tholme. Durant les dernières décennies de la République Galactique, une importante population de Twi’leks Lethan avait élu domicile sur la lune de Naos III, dans l’Espace Sauvage, à proximité de la Passe des Contrebandiers. C’est sur ce monde que les Jedi Kenobi et Skywalker firent la rencontre de Fa’ale Leh en 19 BBY, qui les aida comme elle le put à remonter la piste de Darth Sidious. La même année, peu après l’avènement de l’Empire Galactique, le maître Jedi Kai Hudorra fonda un casino nommé “le Twi’lek Chanceux” sur le monde de Kestavel. La devanture comportait deux esclaves femelles en petite tenue, sans doute dans le but d’attirer la clientèle. En fait, la diversité des professions et des choix de vie de chaque individus de cette espèce fut telle qu’il est aujourd’hui impossible de la résumer : De nombreux spécimens servirent dans les rangs de l’Ordre Jedi et du Nouvel Ordre Jedi. Certains devinrent marchands, entrepreneurs, médecins ou mécaniciens, d’autres contrebandiers ou pirates. La profession de masseuse (“yobanna” en Twi’leki), quasi-exclusivement exercée par des femelles, était plutôt courante pour les Twi’leks. Beaucoup de jeunes esclaves Twi’lek exercèrent cette profession pour leurs maîtres., citons les jumelles Ann et Tann Gella, qui travaillèrent pour le podracer Sebulba en 32 BBY. Les Twi’leks tentèrent de s’éloigner autant que possible des conflits qui auraient pu mettre en danger leur peuple. Citons par exemple la Première Guerre Civile Galactique (2 BBY – 19 ABY), où ils restèrent neutres durant toute la durée du conflit. Ils considéraient l’Empire Galactique et l’Alliance Rebelle comme deux dangers distincts dont il ne fallait pas s’approcher. Un célèbre proverbe mentionne à ce propos : “Si tu ne peux pas battre une tempête, laisse-la passer”. Les Twi’leks ne purent empêcher le Consortium de Zann de construire un palis sur leur monde, que les forces impériales envahirent afin de le détruire dans les plus brefs délais. C’est également à cette période que Tol Sivron rejoignit les rangs impériaux et fut promu au post de directeur du complexe de la Gueule. Il est à noter que le “Chir’daki”, un chasseur stellaire né d’un croisement entre le X-Wing T-65 et le chasseur TIE Impérial, était une de leurs inventions personnelles que des contrebandiers Twi’leks utilisèrent pendant un temps, notamment lors de la Guerre du Bacta (7.5 BBY) contre Ysanne Isard. Les Twi’leks eurent à souffrir de nombreuses crises, à commencer par la prise du pouvoir de Nolaa Tarkona en 24 ABY et la fondation de l’Alliance de la Diversité. Les Twi’leks purent profiter d’une nouvelle ère de commerce du Ryll et d’un apport considérable de reconnaissance et d’autorité grâce à l’attraction qu’exerçait l’Alliance dans la galaxie. Quelques temps plus tard, l’Alliance de la Diversité fut dissoute et Nolaa Tarkona vaincue, replongeant dans la normalité la plus totale. Les Twi’leks ne furent pas sortis d’affaire car les années qui suivirent furent marquées par l’arrivée des extragalactiques Yuuzhan Vong, qui ne manquèrent de ravager bon nombre de mondes, parmi lesquels se trouvait Ryloth.

Certain(e)s Twi'leks avaient le don de la mécanique. D'autres durent choisir des voies... différentes

Une mécanicienne Twi’lek (gauche) et un criminel Twi’lek (droite).
(images extraites de “Desperate Allies” à gauche et “Dangerous Covenants” à droite).

III – Mode de vie et place dans la société galactique :

Au cours de leur histoire, les Twi’leks vécurent longtemps de la culture de plantes, de moules et de champignons, ainsi que de l’élevage de rycrits, les bovins les plus communs de la planète. Des ongles pointus en forme de griffes ponctuaient leurs longs doigts flexibles, et leurs yeux oranges ou jaunes étaient particulièrement bons pour voir dans l’obscurité. La population vivait au sein de nombreux petits villages, alimentés en énergie par des moulins à turbine tout ce qu’il y avait de plus primitif. Encore aujourd’hui, les habitations les plus simples des petits villages ne sont encore qu’un amas de briques – leur permettant d’échapper à la température atrocement élevée de Ryloth – décorée de textiles colorés. Mais les plus grandes villes étaient quand à elles fichées dans les chaînes de montagnes, dont la partie la plus importante se situait au coeur même de la roche, dans un réseau important de cavernes aménagées. Là aussi, l’objectif était de résister aux fortes températures présentes à la surface. Cependant, Ryloth était secouée de manière régulière par de violentes tempêtes solaires, et ces dernières parvenaient sans mal à s’insinuer dans les cavernes par les voies naturelles. C’est ainsi que furent construites de grandes portes blindées à chaque orifice menant à une zone habitée, qui n’étaient ouvertes aux voyageurs que par temps calme. L’apport de ces installations ne fit qu’accentuer l’isolement des villes Twi’lek au reste de la planète. On raconte que certains Twi’leks priaient une déesse, mais nous ne connaissons ni son nom si le nombre de ses adeptes. Si les mâles portaient des toges longues et amples, les femelles portaient quant à elles des habits de soie fins et serrés, afin de mettre leurs formes en valeur auprès de ces derniers. Les noms donnés aux Twi’leks étaient composées de deux choses : le nom du clan et un nom personnel. Cependant, il pouvait être redécoupé et réorganisé, tout en laissant le nom du clan visible. Les Twi’leks apprirent vite à survivre au sein de ce climat hostile, tantôt frappés par des tempêtes de chaleurs, tantôt pris en chasse par la redoutable faune locale. Mais leur propre monde n’était pas la seule menace qui pesait sur eux. De nombreux esclavagistes s’en prirent à eux au cours de leur histoire. La vente de Twi’leks, en particulier des femmes – pour leurs talents de danseuses et leur physique attrayant – et des enfants, était des plus reconnue à travers toute la galaxie. Par ailleurs, contrairement aux idées reçues, les Twi’leks n’étaient absolument pas compatibles génétiquement avec les humains, rendant tout fécondation impossible. Certains Twi’leks voyaient dans l’esclavage un moyen d’éviter à leurs enfants une vie difficile sur Ryloth, mais aussi de rependre leur culture à travers les étoiles, chose qu’ils n’auraient pu faire seuls avec le manque de moyens financiers et technologiques qui étaient les leurs. Il est à noter que les Twi’leks dits “Lethan” étaient très prisés sur le marché et se vendaient bien plus chers que les autres. Il est évident que ce point de vue n’était pas universel, certains Twi’leks supportant très mal l’esclavage… Certains individus (aussi bien mâles que femelles) qui parvenaient à échapper à la captivité menaient une vie de vol voire de prostitution, utilisant leurs atouts de séduction. En général, beaucoup de Twi’leks vivaient soit de contrebande, soit de criminalité. Certains avaient même un don pour la mécanique. Mais loin d’être faibles, cette espèce possédait sa propre caste de guerriers très redoutables, qui aimaient manier des armes lourdes comme de grosses haches ou des dagues traditionnelles. Les Twi’leks appréciaient aussi les Lyaer’tsa, des sortes de bâtons surmontés d’une vibrolame.

Ces armes étaient conçues pour infliger des blessures et non donner la mort. D’un naturel patient et inventif, il était en général agréable de les côtoyer. Lors de la première rencontre d’un Twi’lek avec un invité sur leur monde natal, une coutume souhaitait que les deux individus s’offrent mutuellement un cadeau, ce qui menait tout naturellement à l’élaboration d’une grande fête où les danseuses pouvaient mettre tous leurs talents à l’honneur. Si les femelles étaient reléguées au second plan (la société Twi’lek étant de nature patriarcale), il exista cependant certaines exceptions : La Reine Despote Hadiya, qui vécut avant même l’avènement de la République Galactique, apporta une ère de terreur dans le système Tython et ce jusqu’à sa mort en 25.805 BBY. Autre exemple déjà évoqué avec Nolaa Tarkona, qui prit le pouvoir sur Ryloth et qui forma l’Alliance de la Diversité autour de 24 ABY, un mouvement qui souhaitait l’éradication pure et simple de l’espèce humaine, considérée par cette organisation comme le fléau absolu de l’Histoire Galactique. Tarkona s’illustra par une autre particularité marquante, de nature physique : les femelles Twi’leks n’avaient aucunement le droit de garder leurs dents pointues. En effet, seuls les mâles étaient autorisés à entretenir leurs crocs et les femelles se voyaient limées les dents. Nolaa Tarkona fut donc connu pour être  la seule femelle Twi’lek à aiguiser ses dents pointues et à les exhiber en public comme une marque d’assurance et d’intimidation. Les Twi’leks semblaient croire en une divinité appelée sommairement “la Déesse Twi’lek”, dont on sait malheureusement peu de choses. Le chevalier Jedi Tott Doneeta l’invoqua plusieurs fois dans des moments difficiles aux alentours de 4000 BBY. La société Twi’lek fonctionna longtemps grâce à un système de clans. Ces clans possédaient plus ou moins d’importance, et étaient tous représentés dans différents Conseil des Clans, situé dans chaque ville. Le plus important d’entre eux se trouvait dans la capitale de Lessu. Les clans dont un des membres faisait partie du Conseil voyait son prestige et son influence augmentés drastiquement, et ramenaient à leur cause d’autres clans. Les conseils étaient formés par cinq Twi’leks mâles, responsables des décisions communautaires concernant Ryloth. Ce système fut extrêmement efficace pendant des centaines d’années. Lorsqu’un membre du conseil mourrait, les quatre membres restants devaient se diriger en direction des Terres Lumineuses, où la chaleur étouffante et les tempêtes solaires les tuaient à coup sûr. Cette pratique, qui peut sembler irréaliste, était en fait un moyen parfait pour éviter les luttes intestines et éviter au mieux les prises de pouvoirs. En effet, aucun des cinq conseillers ne pouvait se débarrasser des autres sans y laisser la vie, ce qui permettait au Conseil des Clans de travailler plus efficacement sans que les membres n’aient besoin de se surveiller mutuellement. A ce jour, nous ne connaissons que très peu de membres de Conseils de Clans : Bib Fortuna, Pol Secura, Ro Fenn et Tol Sivron. Egalement, lorsque des chefs de clans rivaux apportaient la guerre ou la désolation sur Ryloth, qu’un Twi’lek tentait de prendre le pouvoir ou commettait un crime grave, ils étaient également envoyés dans les Terres Lumineuses pour y mourir. Bien évidement, il arriva que des auteurs de crimes graves puissent échapper à leur peine en quittant la planète, à l’instar de Kh’aris Fenn. En 24 ABY, lors de la prise du pouvoir par Nolaa Tarkona, cette dernière envoya mourir un chef de clan qui avait résisté à son ascension, Kur, dans la face gelée de Ryloth. Ce dernier fut retrouvé plus tard par Jaina Solo et Zekk, puis exfiltré de Ryloth. Après la chute de Tarkona, il prit le contrôle de Ryloth pour aider son peuple à se relever de la crise.

Les esclaves et danseuses Twi'leks étaient réputés à travers toute la galaxie

Deux esclaves de la maison noble Tapani Reena, sur Nyriaan (droite).
(images extraites de “Lords of Nal Hutta” à gauche et “Galaxy of Intrigue” à droite)

Liste des clans Twi’leks :

  • Amersu
  • Dira
  • Doneeta
  • Fenn
  • Freetaa
  • Freykaa
  • Himar
  • Lek
  • Nercathi
  • Olan
  • R’lyek
  • Rha
  • Ryloth
  • Ryo
  • Secura
  • Shak
  • Tarkona
  • Una

Liste des œuvres :

– “La Menace Fantôme”
– “L’Attaque des Clones”
– “La Revanche des Sith”
– “Le Retour du Jedi”

Séries animées :
– “Clone Wars”

Romans :
– “Knight Errant”
– La trilogie “Dark Bane”
– “Dark Plagueis”
– “La Menace Fantôme”
– La série “Jedi Quest”
– “L’Attaque des Clones”
– La série “Boba Fett”
– La série “Republic Commando”
– “La Guerre des Clones – Medstar I”
– “La Guerre des Clones – Medstar II”
– “Le Labyrinthe du Mal”
– “La Revanche des Sith”
– “Dark Lord : L’Ascension de Dark Vador”
– La trilogie “Les Nuits de Coruscant”
– La trilogie “Yan Solo”
– “Le Retour du Jedi”
– La trilogie “la Guerre des Chasseurs de Primes”
– La série “X-Wings”
– La série “Galaxie de la Peur”
– La Trilogie “Callista”
– La série “Jeunes Chevalier Jedi”
– La série “Le Nouvel Ordre Jedi”
– La trilogie “Le Nid Obscur”
– La série “L’Héritage de la Force”
– La série “Destin des Jedi”

BD/Comics :
– La série “la Genèse des Jedi”
– La série “la Légende des Jedi”
– La série “Chevaliers de l’Ancienne République”
– La série “Jedi”
– La série “l’Ordre Jedi”
– “La Menace Fantôme”
– “L’Attaque des Clones”
– La série “Clone Wars”
– “La Revanche des Sith”
– La série “Dark Times”
– La série “X-Wings – Rogue Squadron”
– La série “Rébellion”
– “Le Retour du Jedi”
– “Nouvelle République tome 2 : Union”
– La série “Invasion”
– La série “Legacy” (Saison 1)

Jeux Vidéos :
– “KOtOR I”
– “KOtOR II”
– “The Old Republic”
– “Star Wars : Empire at War”
– “Star Wars Galaxies : An Empire Divided”
– “Star Wars Galaxies : The Ruins of Dantooine”
– “Jedi Knight – Jedi Academy”

Autres :
– Les JDR “Star Wars : Adventure Journal” # 2, 3, 4, 5, 11

Guides et encyclopédies utilisés en supplément :

– A Guide to the Star Wars Universe
– Alien Encounters
– Alliance Intelligence Reports
– Cracken’s Rebel Operatives
– Enter the Unknown
– Flashpoint ! Brak Sector
– Galaxy Guide 2 : Yavin and Bespin
– Galaxy Guide 2: Yavin and Bespin, Second Edition
– Galaxy Guide 5 : Return of the Jedi
– Galaxy Guide 5: Return of the Jedi, Second Edition
– Galaxy Guide 6 : Tramp Freighters
– Galaxy Guide 6 : Tramp Freighters, Second Edition
– Galaxy Guide 7 : Mos Eisley
– Galaxy Guide 9: Fragments from the Rim
– Galaxy Guide 11: Criminal Organizations
– Galladinium’s Fantastic Technology
– Goroth : Slave of the Empire
– Gundark’s Fantastic Technology: Personal Gear
– Han Solo and the Corporate Sector Sourcebook
– Heroes & Rogues
– Hero’s Guide
– Jedi vs. Sith: The Essential Guide to the Force
– Knights of the Old Republic Campaign Guide
– Le Livre des Sith
– Le Manuel du Jedi
– Living Force Campaign Guide
– Planets of the Galaxy, Volume One
– Planets of the Galaxy, Volume Three
– Platt’s Starport Guide
– Rebellion Era Campaign Guide
– Scum and Villainy
– Shadows of the Empire Planets Guide
– Shadows of the Empire Sourcebook
– Star Wars Campaign Pack
– Star Wars : Force and Destiny Core Rulebook
– Star Wars Gamemaster Screen
– Star Wars Gamemaster Handbook
– Star Wars Rebellion : Prima’s Official Strategy Guide
– Star Wars Roleplaying Game Saga Edition Core Rulebook
– Star Wars Sourcebook, Second Edition
– Star Wars : The Roleplaying Game, Second Edition
– Suns of Fortune
– The Complete Star Wars Encyclopedia
– The DarkStryder Campaign
– The Essential Guide to Alien Species
– The Essential Guide to Warfare
– The Essential Reader’s Companion
– The Jedi Academy Sourcebook
– The Kathol Rift
– The Movie Trilogy Sourcebook
– The New Essential Guide to Characters
– The New Jedi Order Sourcebook
– The Star Wars Planets Collection
– The Star Wars Sourcebook
– The Unknown Regions
– Ultimate Alien Anthology
– Wanted by Cracken
– Wretched Hives of Scum & Villainy

Auteur : Ismir de Rómenna
Date de mise en ligne : 08/01/2020

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